Taux de délivrabilité : le guide ultime pour des campagnes emailing qui ne finissent pas en spam
Un super email qui n’arrive jamais à destination, ça vous parle ? C’est là qu’intervient le taux de délivrabilité : le pourcentage d’emails réellement reçus par vos contacts. Trop souvent négligé, ce KPI est pourtant crucial — un taux faible peut saboter même vos meilleures campagnes. Dans ce guide, découvrez les causes fréquentes d’un mauvais score (problèmes techniques, contenus non optimisés, base obsolète), les erreurs à éviter et les étapes concrètes pour améliorer votre délivrabilité. Outils, études de cas, bonnes pratiques : MO&JO vous donne toutes les clés pour sortir du dossier spam et booster vos performances.
Temps de lecture :
7 min
Lorraine
Publié le
5/19/2025
Temps de lecture :
7 min
Lorraine
Publié le
5/19/2025
Taux de délivrabilité : le guide ultime pour des campagnes emailing qui ne finissent pas en spam
Un super email qui n’arrive jamais à destination, ça vous parle ? C’est là qu’intervient le taux de délivrabilité : le pourcentage d’emails réellement reçus par vos contacts. Trop souvent négligé, ce KPI est pourtant crucial — un taux faible peut saboter même vos meilleures campagnes. Dans ce guide, découvrez les causes fréquentes d’un mauvais score (problèmes techniques, contenus non optimisés, base obsolète), les erreurs à éviter et les étapes concrètes pour améliorer votre délivrabilité. Outils, études de cas, bonnes pratiques : MO&JO vous donne toutes les clés pour sortir du dossier spam et booster vos performances.
Imaginez lancer une campagne emailing très travaillée, avec un design soigné, un message percutant et des appels à l'action irrésistibles... pour finalement découvrir que la majorité de vos emails n’ont même pas atteint la boîte de réception de vos destinataires.
Frustrant ? C’est tout l’enjeu du taux de délivrabilité, qui est un KPI de performance de l’envoi avant diffusion.
Un taux de délivrabilité faible peut saboter même les meilleures campagnes emailing.
Chez MO&JO, agence emailing, nous vous aidons à améliorer chaque maillon de votre stratégie emailing. Vous gagnez en visibilité, en engagement, et en performance, sans laisser vos emails tomber dans l’oubli.
En Bref
Comment améliorer son taux de délivrabilité ? En nettoyant régulièrement sa base email, en configurant correctement SPF/DKIM/DMARC, et en segmentant ses envois pour maximiser l’engagement.
Pourquoi mes emails arrivent-ils en spam ? Les causes courantes sont une mauvaise réputation d’IP et/ou de domaine d’envoi, un contenu non optimisé, ou l’absence de validation technique (SPF, DKIM...).
Quels sont les outils pour tester la délivrabilité avant l’envoi ? Les 4 outils les plus fiables sont : Mail-Tester, GlockApps, Sender Score et Captain Verify.
Quels sont les bons taux de délivrabilité en emailing ? Un bon taux se situe entre 95 % et 98 % ; en dessous de 90 %, il faut auditer vos pratiques.
C’est quoi le taux de délivrabilité ?
Le taux de délivrabilité correspond au pourcentage d’emails envoyés qui parviennent réellement dans la boîte de réception de vos abonnés.
Ce n’est pas le taux d’ouverture, ni même le taux de clic : c’est l’étape zéro de votre campagne emailing (est-ce que votre email a bien été livré ? La question à se poser ensuite est où il est livré mais on y reviendra plus tard).
Si votre email n’est pas délivré, il est tout simplement invisible.
1. La formule :
Taux de délivrabilité = Nombre d’emails délivrés / Nombre d’emails envoyés x 100
👉 Par exemple : Vous envoyez une campagne à 10 000 adresses. Si 9 200 arrivent réellement chez le destinataire, alors votre taux de délivrabilité est de 92 %.
2. Un bon taux, ça ressemble à quoi ?
La moyenne acceptée dans le secteur tourne autour de 95 %. En dessous de 90 %, vous perdez un volume non négligeable de contacts à cause :
de filtres antispam,
d’adresses invalides,
ou d’erreurs techniques sur vos serveurs d’envoi.
Et ce petit pourcentage manquant, c’est du ROI en moins, des conversions en moins, et potentiellement des milliers d’euros perdus.
Mais surtout, c'est un très mauvais indicateur pour les instances de délivrabilités (des FAIs ou tiers). Ce qui va impacter à terme votre réputation d'envoyeur et donc faire baisser encore davantage votre taux de délivrabilité.
3. La délivrabilité ≠ la réception dans la boîte principale de réception
Même si un email est « techniquement délivré », il faut vérifier le volume d’emails aboutis car il peut :
Ou être bloqué par le fournisseur (Gmail, Outlook...).
C’est pourquoi le vrai défi, ce n’est pas juste l’envoi, (et ici la délivrabilité indiquée de votre email) c’est la réception effective dans l’inbox principale.
4. Les terminologies à connaître
Une adresse IP d’envoi : identifiant unique de votre serveur, elle peut être "grillée" si votre réputation est mauvaise.
Un fournisseur de messagerie : Gmail, Orange, SFR, Yahoo... ce sont eux qui décident où vos emails atterrissent.
Le taux de bounce email (ou bounce rate) : emails non délivrés, à cause d’erreurs permanentes ou temporaires.
Le taux de plaintes : signalements négatifs de la part des destinataires liés à l'action de l'internaute de déclarer que votre message n'est pas souhaité et potentiellement dangereux (spam).
Et pour un marketeur, ça peut vite devenir le maillon faible de la chaîne emailing. La délivrabilité est le fondement de votre stratégie emailing. Votre campagne peut être la meilleure du monde, si elle n’est pas lue, elle ne sert pas à grand-chose.
En réalité, l’échec d’une campagne emailing repose rarement sur le fond du message ou le design. Il est bien plus souvent lié à des problèmes invisibles : mauvaise configuration technique, réputation d’expéditeur dégradée, base non nettoyée… Autant de raisons qu’on sous-estime, mais qu’il est essentiel de connaître pour y apporter des solutions concrètes et durables.
Pourquoi votre taux de délivrabilité est plus bas que vous ne le pensez ?
Beaucoup de professionnels se basent uniquement sur les statistiques de leur outil d’emailing pour juger la performance de leurs campagnes.
Le problème : ils s'arrêtent parfois à une vision macro d'un taux de délivrabilité globale sans aller dans la granularité par fournisseur de messagerie.
Peut-être avez-vous un taux qui vous semble acceptable mais vous ne délivre plus sur outlook depuis 1 mois. Le taux réel peut être bien plus faible... et vous ne le voyez pas.
1. Les filtres antispam, premiers ennemis invisibles
Chaque fournisseur de messagerie (Gmail, SFR, Orange…) utilise ses propres algorithmes pour filtrer les emails. Et ces filtres ne sont pas publics. Ils analysent :
La réputation de votre domaine,
Le contenu de l’email,
Le comportement de l’utilisateur (clics, signalements, désinscriptions, taux de plaintes…).
Un simple mot mal placé dans votre texte, ou une adresse IP qui a mauvaise réputation, et vous passez directement en spam.
2. Les erreurs techniques à ne pas sous-estimer
Voici ce qui peut impacter négativement votre délivrabilité sans que vous vous en rendiez compte :
Les 9 causes les plus fréquentes d’un mauvais taux de délivrabilité
Votre taux de délivrabilité chute ? Pas de panique. Avant d’entrer dans des solutions complexes, commençons par identifier les erreurs les plus courantes. Voici les 10 principales causes que nous observons régulièrement.
1. Une base de données obsolète : envoyer des emails à des adresses inactives ou erronées entraîne des rebonds (bounces) qui dégradent votre réputation.
👉 Ce qu’il faut faire : nettoyez régulièrement votre liste d’abonnés avec un outil de vérification.
2. Une absence de double opt-in : le double opt-in permet de valider que chaque abonné souhaite réellement recevoir vos emails. Avec lui, vous engagez davantage le prospect dès la collecte.
👉 C'est aussi un bon levier pour vérifier que vous récolter des adresses emails valident
3. Une fréquence d’envoi irrégulière : passer de 0 à 10 000 envois par jour est perçu comme suspect par les serveurs. Votre stratégie d’envoi doit gagner en régularité.
4. Un contenu non optimisé : un email trop lourd, un ratio texte-image non réglementaire, des liens de redirection corrompus ou non sécurisés, des mots déclencheurs de spam (spam words) (ex. “gratuit”, “urgent”) est souvent filtré. Optimisez ce que vous écrivez pour l’humain, mais aussi pour la machine.
5. Une mauvaise segmentation : envoyer le même contenu à tous vos abonnés, sans tenir compte de leurs intérêts, génère peu d’engagement.
Le résultat : vous êtes considéré comme un expéditeur peu pertinent, donc à éviter.
6. Un manque de personnalisation : un message impersonnel (ex : “Bonjour client”) est perçu comme froid, voire automatisé. Cela affecte l'engagement et donc la délivrabilité.
7. Un objet de mail mal rédigé : un objet trop vendeur ou trompeur est souvent considéré comme spam. Pire : il peut déclencher un signalement manuel par l'utilisateur.
8. Un IP d’envoi partagée de mauvaise qualité : si vous utilisez un domaine mutualisé, vous héritez de la réputation des autres utilisateurs. Un seul abus, et tous les autres entités partageant ce domaine sont pénalisées.
9. Une absence de lien de désinscription visible : c’est non seulement illégal, mais surtout un facteur de signalement. Un email sans option de sortie est un spam potentiel.
Choisissez un outil reconnu avec une bonne réputation serveur qui peut vous accompagner sur la partie technique et d'authentification.
Comment améliorer votre délivrabilité en 6 étapes importantes ?
Maintenant que vous savez ce qui plombe votre score, voyons comment l’optimiser durablement. Cette partie vous donne un plan d’action clair, à appliquer dès aujourd’hui.
Étape 1 : Vérifiez la configuration technique
Votre infrastructure doit être clean pour éviter d’être blacklisté.
SPF : autorise vos serveurs à envoyer des emails en votre nom.
DKIM : authentifie l’origine de vos messages.
DMARC : instruit les fournisseurs sur la réaction à adopter si SPF/DKIM échouent.
💡 Si vous ne savez pas configurer cela, demandez à votre fournisseur de service emailing ou à un expert.
💡Conseil MO&JO : utilisez un outil de monitoring de réputation IP pour suivre votre note d’expéditeur.
Étape 3 : Améliorez la qualité de votre base
Plus vos abonnés sont qualifiés, plus votre taux de délivrabilité monte.
Supprimez les inactifs après X envois sans interaction.
Segmentez selon l’intérêt ou le comportement.
Utilisez des formulaires clairs pour l’inscription.
Étape 4 : Favorisez l’engagement
L'engagement est le nouvel or noir de l'emailing. Les services de messagerie favorisent les expéditeurs dont les emails génèrent :
Des ouvertures fréquentes,
Des réponses,
Des clics sur les liens.
Ajoutez des appels à l’action interactive et incitez à répondre à votre email (ex. : "Dites-nous ce que vous en pensez !").
Étape 5 : Structurez vos envois dans le temps
Évitez :
Les envois massifs ponctuels,
Les périodes “calmes” trop longues,
Les campagnes non planifiées et massives.
Créez un calendrier éditorial emailing et respectez-le pour conserver une régularité.
Étape 6 : Mettez à jour vos contenus et vos outils
Testez vos objets et contenus avec des outils comme Mail-Tester.
Mettez à jour vos modèles de kit mail HTML (surtout avec le sujet de l’adaptabilité).
Privilégiez des outils comme Brevo, Mailchimp ou Mailjet pour une meilleure réputation.
Les outils pour tester et surveiller votre taux de délivrabilité
Vous ne pouvez pas améliorer ce que vous ne mesurez pas. Voici les 4 outils indispensables pour évaluer et maintenir un bon taux de délivrabilité :
Mail-Tester : score rapide de votre email + vérification SPF, DKIM, DMARC. Parfait pour les tests express.
GlockApps : simule l’arrivée de vos emails (inbox, promo, spam) sur Gmail, Outlook & co.
Sender Score : note votre réputation IP (de 0 à 100).
Captain Verify : nettoie vos bases pour éviter les adresses inactives ou à risque.
💡Note MO&JO : Appuyez-vous aussi sur votre outil ou routeur avant l'envoi. Il doit et peut sûrement calculer votre spamscore ou d'autres score prédictif de délivrabilité comme le VadeRetro
Tableau comparatif
Source MO&JO : Tableau comparatif des outils pour tester et surveiller votre taux de délivrabilité
À retenir : combinez ces plateformes pour une vision complète et optimisez chaque étape de votre stratégie d’envoi.
Étude de cas : comment une PME peut boosté sa délivrabilité
Contexte : la société TechyLead
Secteur : SaaS B2B
Taille : 15 collaborateurs
Base email : 22 000 contacts
Problème : taux de délivrabilité à 78 %, très en dessous des standards
“On croyait que c’était normal d’avoir des taux d’ouverture autour de 10 %. En réalité, la majorité de nos emails allaient dans les spams.”
1. Symptômes identifiés
Utilisation d’une IP partagée sans warm-up.
Aucune authentification SPF/DKIM/DMARC.
Campagnes envoyées à toute la base sans segmentation.
Objet générique du type “Offre Spéciale !”.
2. Plan d’action mis en place (3 semaines)
Nettoyage de base : suppression des inactifs > 6 mois.
Segmentation comportementale : création de 3 segments par intérêt.
Configuration technique :
SPF, DKIM, DMARC
Changement de contrat avec son routeur pour une IP dédiée
Warm-up progressif de la nouvelle IP
Test du contenu via Mail-Tester et GlockApps
Mise en place d’un calendrier de diffusion régulier
💡 ROI estimé de la campagne post-optimisation : +6 000 € en MRR supplémentaires en 2 mois.
3. La leçon à retenir
La délivrabilité n’est pas un détail technique, c’est un levier de performance commerciale. Avec un peu de méthode et les bons outils, les résultats peuvent être spectaculaires, même sans augmenter les budgets.
8 bonnes pratiques à adopter maintenant pour une délivrabilité au top
Pas besoin de tout révolutionner pour voir des résultats. Voici une série de bonnes pratiques simples, mais souvent négligées, que vous pouvez appliquer immédiatement pour optimiser votre taux de délivrabilité.
1. Maintenez une base propre
Supprimez les adresses inactives ou rebondissantes tous les mois.
Utilisez des solutions de validation d’emails à l’entrée.
2. Préférez le double opt-in
Cela garantit que vos abonnés sont réellement intéressés.
Réduit les risques de plaintes et de fausses adresses.
3. Soignez vos objets d’emails
Évitez les mots déclencheurs de filtres spam (“gagnez de l’argent”, “urgent”, “seulement aujourd’hui”...).
Testez plusieurs objets via A/B testing.
Soyez clairs, utiles, et engageants.
4. Segmentez, personnalisez, engagez
Parlez aux bonnes personnes, avec le bon message.
Utilisez le prénom, l’historique d’achat ou le comportement.
Encouragez les réponses et interactions.
5. Vérifiez votre configuration technique
SPF, DKIM et DMARC doivent être activés et valides.
Surveillez votre réputation de domaine et d’IP.
Utilisez une adresse d’expéditeur professionnelle et stable.
6. Testez chaque envoi
Utilisez Mail-Tester ou GlockApps avant toute campagne.
Corrigez les erreurs signalées (balises manquantes, contenu suspect, blacklist...).
7. Gardez une fréquence régulière
Ne laissez pas votre audience sans nouvelle pendant des mois.
Programmez vos campagnes avec un calendrier éditorial clair.
Préférez la constance à la quantité.
8. Analysez et ajustez
Surveillez vos indicateurs clés : rebond, spam, ouverture, clics.
Lorraine, à la tête de la BU marketing direct chez MO&JO, est une experte reconnue en PRM & CRM. Sa direction stratégique et son savoir-faire approfondi font d'elle un pilier essentiel dans le développement des relations clients.
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