Échecs email : top 10 des erreurs à éviter pour que vos campagnes arrivent enfin à destination
Votre taux d’ouverture s’effondre ? Vos emails n’arrivent jamais à bon port ? Vous faites peut-être l’une des 10 erreurs critiques qui sabotent la délivrabilité de vos campagnes. Spam words, mauvaise réputation de domaine, adresse IP blacklistée, configuration DKIM erronée… ces détails techniques ont un impact majeur sur la réception de vos messages. Dans cet article, MO&JO vous dévoile les pièges à éviter absolument et vous donne les clés pour remettre vos campagnes sur de bons rails. Objectif : reprendre le contrôle et garantir que chaque email arrive à destination — et performe.

Fun fact : près de 45 % des emails envoyés chaque jour dans le monde n’atteignent jamais leur destination.
Et non, il ne s’agit pas uniquement de messages frauduleux ou de chaînes douteuses. Il suffit parfois d’une mauvaise configuration serveur ou de domaine, d’un mot mal choisi, ou d’un envoi trop massif pour que vos campagnes finissent dans la mauvaise boîte ou au pire des cas relégué en SPAM.
Dans un écosystème où les fournisseurs de messagerie renforcent chaque jour leurs filtres pour progéger leurs clients, la réception définitive et bien indexée (en boîte de réception) d’un message devient un enjeu stratégique. Trop souvent négligée, la délivrabilité est ce qui sépare un email qui peut performer… d’un échec.
Cet article vous aide à comprendre les vraies causes des erreurs d’envoi, et surtout, à adopter les bons paramètres, les bonnes règles, et les bons outils pour y remédier.
👉 En bonus : les conseils de notre équipe MO&JO pour optimiser chaque campagne.
Chez MO&JO, agence emailing, nous aidons les annonceurs à sécuriser leur délivrabilité, optimiser leurs paramètres techniques et structurer une stratégie d’envoi performante.
En Bref
- Comment savoir si mes emails échouent à être délivrés ? Surveillez vos rapports de campagne : un taux d’ouverture très bas, des erreurs SMTP ou une chute d’engagement peuvent indiquer un problème de délivrabilité.
- Qu’est-ce qu’un échec de délivrabilité d’email exactement ? C’est un message qui n’atteint pas correctement la boîte de réception : rejeté, classé en courrier indésirable.
- Un simple mot peut-il faire échouer un email ? Oui. Certains mots ou formulations déclenchent les filtres automatiques, surtout s’ils sont dans l’objet. On les appelle des “spam words”.
- Mon compte email ou mon domaine peut-il être bloqué ? Absolument. Si vous envoyez trop de messages non sollicités ou mal ciblés, votre réputation d’adresse expéditeur ou domaine d'envoi peut être temporairement ou durablement bloquée.

Comprendre l’échec de délivrabilité d’email : bien plus qu’un simple message non remis
Un échec email, ce n’est pas juste une alerte d’erreur ou un rejet SMTP. C’est tout incident qui empêche votre message d’atteindre la bonne boîte de réception, dans de bonnes conditions.
Cela peut prendre plusieurs formes :
- L’email est bloqué par un serveur distant (code d’erreur SMTP 550, 554…)
- Il atterrit dans l’onglet promotions ou les spams, sans que vous le sachiez
- Il dégrade la réputation de votre domaine, voire de votre compte expéditeur
Et ces erreurs sont rarement isolées : elles s’accumulent, biaisent vos statistiques, et peuvent même entraîner un blocage complet par certains fournisseurs de messagerie comme Gmail, Outlook ou Microsoft Exchange.
Pourquoi ça vous concerne, même si tout vous semble “correct” ?
Parce qu’un simple oubli comme un mauvais code dans le header, un paramètre SMTP mal réglé, ou une fréquence d’envoi excessive peut suffire à déclencher une erreur côté serveur, et vous faire passer pour un spammeur… sans que votre système de messagerie ne vous en informe.
Les filtres anti-spam peuvent vous associer négativement à des techniques de spammeurs dites de snowshow (trop de messages peu pertinents diffusés sur de larges audiences qui ne portent pas intérêt à votre message et./ou qui n'ont pas sollicité vos messages).
Dans la suite, on vous détaille les 10 erreurs d’envoi les plus fréquentes celles qui plombent vos campagnes et surtout, comment les corriger durablement pour garantir une meilleure réception.
Les 10 erreurs d'envoi les plus fréquentes dans vos campagnes emailing
1. Utiliser des spam words dans vos objets ou contenus
Certains mots peuvent suffire à déclencher une alerte côté messagerie, même si votre contenu est parfaitement légitime. Ce sont les fameux spam words : “offre exclusive”, “urgent”, “gratuit”, “cliquez ici”…
Les filtres automatiques qu’ils soient gérés par Google, Microsoft ou d’autres fournisseurs de messagerie interprètent ces formulations comme des tentatives promotionnelles excessives.
👉 Le résultat : votre message est soit redirigé vers une boîte secondaire, soit filtré directement par le serveur.
Pourquoi c’est un problème ?
- Les filtres analysent le corps du message, l’objet, le ratio texte/image, le code HTML et les liens sortants.
- Trop d’éléments suspects, et votre courrier électronique ne parvient jamais à bon destinataire.
- Et comme le système ne remonte pas toujours d’alerte, vous pensez que vos emails ont été reçus… alors qu’ils ont été ignorés ou rejetés.
Comment corriger ça ?
- Évitez les expressions trop “push” et testez différentes versions d’objet via l’A/B testing.
- Utilisez des outils comme SpamAssassin pour évaluer le risque de votre message.
- Testez l’impact des mots-clés en condition réelle, avant l’envoi massif.
2. Envoyer des emails depuis une adresse IP bloquée
Si vos emails sont refusés sans retour clair ou génèrent un taux de réception très bas, il est possible que votre adresse IP d’expédition soit bloquée.
Cela se produit quand l’IP a été associée à des pratiques considérées comme risquées : envois sans consentement, taux de déclaration en spam de vos messages élevé ou taux de désabonnement anormal.
Elle peut alors être inscrite sur une blacklist par des services comme Spamhaus ou Barracuda, et bloquée par les serveurs SMTP des destinataires.
Quels sont les symptômes ?
- Vos messages retournent des codes d’erreur SMTP (ex. 550, 554)
- Les taux de clics ou d’ouverture chutent brutalement
Comment réagir ?
- Identifiez le problème avec des outils comme MXToolbox, Talos ou Google Postmaster.
- Si votre IP est listée, suivez le processus de delisting proposé par chaque service.
- Pour les campagnes à fort volume, privilégiez une IP dédiée à votre propre domaine d’envoi, avec des paramètres de configuration solides.
3. Avoir une réputation de domaine faible
La réputation de domaine est l’un des critères majeurs analysés par les fournisseurs de messagerie.
Elle repose sur votre historique d’envoi : qualité des campagnes, volume, taux d’ouverture, fréquence, taux de désabonnement ou encore taux d’erreur SMTP.
Si vos envois précédents ont généré trop de signaux négatifs, votre domaine peut être classé comme peu fiable.
Comment repérer un domaine “dégradé” ?
- Vos emails arrivent systématiquement dans des dossiers secondaires ou n’apparaissent pas du tout
- Plusieurs comptes de messagerie rejettent vos messages
- Vos résultats chutent malgré des objets et contenus inchangés qui ont déjà fait leurs preuves avec des bons résultats à la clé
Comment restaurer une réputation saine ?
- Nettoyez votre base de contacts (bounces, doublons, inactifs)
- Travaillez vos paramètres d’envoi : nom d’expéditeur, fréquence, format, personnalisation
- Surveillez les alertes liées à votre compte expéditeur via des outils comme Google Postmaster ou par exemple Return Path.
4. Être listé sur une blacklist (Spamhaus, Barracuda…)
Se retrouver sur une blacklist est l’un des facteurs les plus pénalisants en matière de délivrabilité.
Dès qu’un serveur de messagerie détecte un comportement à risque comme une explosion de taux de plaintes ou des anomalies dans le trafic il peut signaler votre IP ou votre domaine à une base de données de réputation.
Ces listes sont ensuite consultées par d’autres serveurs SMTP, qui rejettent automatiquement vos emails en fonction de ces notations. Cela peut bloquer toute une série d’envois sans que vous en soyez notifié.
Les signes d’un blocage par liste noire
- Un taux d’ouverture soudainement très bas
- Des retours d’erreurs SMTP avec des codes comme 554 ou 521
- Une absence de retours statistiques dans vos outils de suivi
💡Note MO&JO : Votre outil CRM, vous fournit sûrement les taux de délivrabilité par FAI après chaque envoi. Vérifier en granularité ce rapport de délivrabilité n'est pas une option.
Comment s’en sortir ?
- Identifiez la ou les listes concernées avec un outil comme multirbl.valli.org
- Corrigez les causes : volume d’envoi, segmentation, contenu trop lourd…
- Demandez un delisting via les formulaires dédiés (Spamhaus, Barracuda…)
5. Trop de mails non ouverts : un signal de désintérêt qui vous coûte cher
Un email ignoré n’est pas seulement un message perdu : c’est un signal d’alerte pour les systèmes de messagerie.
Un taux d’ouverture trop faible est interprété comme un manque d’intérêt, voire comme une tentative d’envoi non sollicité.
À force d’envoyer des messages non ouverts, vous alimentez des algorithmes qui finissent par réduire votre visibilité, dégradent votre réputation d’expéditeur et favorisent le déclassement de vos messages, voire leur blocage.
Pourquoi c’est un vrai problème ?
- Les filtres prennent en compte l’engagement utilisateur : clics, ouvertures, signalements
- Des mails inactifs dans votre base peuvent provoquer un marquage automatique
- Cela affecte votre compte d’envoi tout entier, et pas seulement une campagne isolée
Comment relancer la dynamique ?
- Lancez des campagnes de réengagement ciblées sur les inactifs
- Supprimez les contacts inactifs depuis plus de 90 jours
- Personnalisez vos objets pour améliorer la taux de réception et d’ouverture
6. Avoir un SpamAssassin Score trop élevé : un verdict algorithmique sans appel
Le SpamAssassin Score est un indicateur technique utilisé par de nombreux fournisseurs de messagerie pour évaluer la légitimité d’un email. Il attribue un score selon des dizaines de critères : contenu, structure et poids HTML, équilibre texte/image, configuration serveur, etc.
Un score élevé signifie que votre email a de grandes chances d’être bloqué ou détourné avant d’atteindre la boîte principale.
Ce que le score prend en compte :
- La présence de certains mots ou combinaisons sensibles
- Les paramètres SMTP mal configurés
- Les images trop nombreuses ou absence de texte d’accompagnement
- La signature DKIM manquante ou incorrecte dans le header
Comment optimiser votre score ?
- Faites un test via Mail Tester ou GlockApps
- Corrigez les erreurs techniques détectées dans le code
- Travaillez un contenu léger, structuré et sans surcharge de liens
7. Un header DKIM incorrect : un détail qui peut tout faire capoter
Un email bien délivré passe d’abord par une authentification conforme. Le protocole DKIM, avec le protocole SPF et le protocole DMARC, signe numériquement chaque message et assure aux serveurs de réception qu’il est bien légitime.
Mais si ce paramètre est mal configuré, ou que le code d’authentification structurel du header est incomplet, votre email peut être bloqué dès son arrivée sur le système du fournisseur. C’est un type d’erreur difficile à détecter sans outil technique, mais pourtant très courant.
Pourquoi c’est bloquant ?
- Certains FAI comme Outlook de Microsoft ou Gmail de Google appliquent des filtres très stricts
- Un envoi sans authentification = signal rouge automatique
- Le message peut être remis… mais dans un onglet secondaire, ou en spam
Comment corriger ça ?
- Vérifiez votre configuration DKIM et SPF via des tests SMTP
- Intégrez vos règles de validation dans chaque nouvelle campagne
- Demandez une vérification technique auprès de votre outil CRM
8. Une mauvaise segmentation de la base : envoyer au mauvais public, au mauvais moment
La segmentation de votre liste d’envoi ne doit pas être une formalité. C’est une condition essentielle pour que votre email arrive à bon destinataire, au bon moment, avec le bon type d’information.
Un manque de ciblage entraîne des envois non pertinents, trop fréquents ou mal rythmés ce qui déclenche des plaintes et altère votre réputation auprès des serveurs SMTP.
Les problèmes que cela génère :
- Mauvais taux de réception car votre contenu est mal perçu
- Risque d’être classé comme contenu indésirable
- Diminution de la diffusion utile du message dans la boîte de réception
Comment mieux cibler ?
- Travaillez par sections comportementales (actifs, dormants, récents, abandon panier…)
- Élaborez des règles d’automatisation : fréquence, produit, historique d’achat
- Mettez à jour régulièrement les comptes et préférences dans votre CRM
💡Notre mantra :envoyez moins mais mieux
9. Des emails trop lourds : vos messages ne s’affichent pas… ou n’arrivent jamais
On parle souvent d’objets d’email, de ciblage ou de timing, mais rarement du poids du message. Pourtant, un contenu trop lourd peut créer de vrais problèmes de remise côté serveur de réception.
Les messageries imposent des règles strictes de poids : un email supérieur à 100 Ko peut être coupé, ralenti ou même rejeté par certains systèmes SMTP.
Cela crée des erreurs de diffusion invisibles à première vue… mais fatales pour vos performances.
Les risques principaux :
- Messages tronqués, notamment sur Gmail ou Microsoft Outlook
- Chargement lent, surtout en mobilité ou dans certaines boîtes partagées
- Apparence dégradée, perte d'impact visuel ou d’appel à l’action
Comment rester dans les clous ?
- Compressez vos images, réduisez le code HTML inutile
- Préférez des modèles épurés, avec structure bien hiérarchisée
- Limitez l’intégration de liens complexes ou de blocs interactifs, cette étape peut facilement être géré lors des envois tests préalables dit BAT
10. Une fréquence d’envoi inadaptée : l’équilibre à ne pas rater
Trop de marques continuent de fonctionner à l’instinct ou en automatisant sans distinction.
👉 Le Résultat : certains destinataires sont saturés d’emails répétitifs, d’autres ne reçoivent plus rien.
La fréquence d’envoi est pourtant l’un des paramètres clés de la stratégie emailing. Mal réglée, elle affecte la réputation de votre domaine, génère des plaintes et dégrade vos résultats dans toutes les sections de la boîte de réception.
Les erreurs fréquentes :
- Ignorer les préférences individuelles (quand, combien, quoi)
- Maintenir une cadence uniforme malgré les signaux d’alerte
- Envoyer massivement sans personnalisation, ni règle de segmentation
Comment trouver le bon rythme ?
- Appuyez-vous sur des données comportementales (clics, activité récente, ouverture)
- Définissez des règles de scénario claires dans votre outil d’email marketing
- Testez différentes fréquences par segment, puis ajustez selon les retours
Comment éviter ces erreurs : les clés d’une stratégie emailing saine
Éviter les échecs email ne repose pas uniquement sur des actions isolées. C’est une approche globale, qui combine rigueur technique, qualité de la diffusion, pertinence des messages, et maîtrise des paramètres critiques.
👇 Voici les piliers à consolider dans votre système d’email marketing :
1. Auditez vos campagnes régulièrement
Impossible d’améliorer ce que l’on ne mesure pas. Un bon audit permet d’identifier les erreurs invisibles liées à vos flux : configuration SMTP incomplète, serveur d’émission mal reconnu, ou règles de routage inadaptées.
Bonnes pratiques :
- Testez vos emails avec des outils comme Mail Tester, GlockApps ou MXToolbox
- Vérifiez la configuration des serveurs SMTP et la cohérence de vos protocoles d’authentification
- Contrôlez les headers pour assurer leur conformité avec les exigences des FAIs
2. Mettez en place une authentification irréprochable
Vos emails doivent prouver leur légitimité avant d’être acceptés. Cela passe par des paramètres techniques solides, en particulier SPF, DKIM et DMARC, qui garantissent que votre domaine n’est pas usurpé.
Pourquoi c’est indispensable :
- Un code d’erreur SMTP ou une absence d’authentification peut bloquer la remise du message
- Certains fournisseurs comme Microsoft appliquent des contrôles très stricts sur ces éléments
Besoin d'aide ? Consultez notre article : SPF, DKIM, DMARC : le guide des standards d’authentification
3. Respectez la réglementation
RGPD, CNIL, CAN-SPAM… toute stratégie de diffusion d’email doit respecter un cadre légal strict.
Cela inclut la gestion des comptes, la collecte et l'utilisation de données personnelles, ainsi que les règles de désinscription.
À mettre en place :
- Gardez une preuve d’opt-in pour chaque destinataire
- Nettoyez régulièrement votre liste de contacts pour éviter les plaintes ou erreurs de ciblage
- Automatisez la gestion des droits d’accès et de suppression
Pour tout savoir sur vos obligations : La réglementation dans l'emailing : RGPD, CNIL, CAN-SPAM-Act
4. Travaillez avec les bons fournisseurs et outils
Tous les fournisseurs de services de messagerie ne proposent pas le même niveau de fiabilité. Certains ESP (Email service provider) ne permettent pas un contrôle fin des règles SMTP.
Ce que vous devez vérifier :
- Qualité des serveurs utilisés et vitesse de traitement
- Accès aux informations de diagnostic en cas de problème
- Personnalisation avancée des règles de diffusion, notamment par compte, par liste ou par boîte de réception cible
- S’il s’agit d’un IP dédié ou mutualisé
Le mot de la fin : maîtriser la délivrabilité, c’est reprendre le contrôle
L’échec email n’est jamais une fatalité. Il résulte d’une somme de détails techniques, de mauvaises pratiques ou d’un manque de surveillance active.
Mais la bonne nouvelle, c’est qu’il est possible de reprendre la main ( à condition de s’appuyer sur un système structuré, des règles claires, et des outils adaptés).
Chaque erreur de configuration, chaque taux d’ouverture en chute, chaque code SMTP non interprété vous prive d’opportunités concrètes. La réception de vos messages dans la bonne boîte n’a rien de magique : elle se travaille.
Et cela commence par :
- Un contrôle régulier de vos paramètres techniques
- Une stratégie de diffusion mieux pensée
- Une relation de confiance établie avec vos fournisseurs de messagerie
En renforçant la qualité de vos listes, la pertinence de vos contenus, et la gestion de votre réputation d’expéditeur, vous évitez non seulement les échecs de remise, mais vous maximisez l’impact de chaque campagne.
Et surtout, gardez en tête : ce n’est pas la quantité d’emails envoyés qui crée la performance, mais la capacité à faire passer le bon message à la bonne personne, au bon moment, dans les bonnes conditions techniques.
Besoin de reprendre le contrôle sur vos performances email ?
Prenez rendez-vous avec notre équipe pour un audit complet, un plan d’optimisation personnalisé et une remise en conformité de vos paramètres de diffusion.

A propos de l’auteur
Lorraine
Lorraine, à la tête de la BU marketing direct chez MO&JO, est une experte reconnue en PRM & CRM. Sa direction stratégique et son savoir-faire approfondi font d'elle un pilier essentiel dans le développement des relations clients.