Vous avez une offre, un bon design, un timing parfait… mais vos emails ne convertissent pas ? Le coupable est souvent le CTA. Ce petit bouton joue un rôle crucial : sans lui, pas d’action, pas de clic, pas de résultat. Dans ce guide, MO&JO vous dévoile comment transformer vos appels à l’action en déclencheurs de conversion. De la formulation au placement, du design à la personnalisation, chaque détail compte. Découvrez les leviers psychologiques, visuels et stratégiques qui font vraiment la différence. Exemples concrets, erreurs fréquentes, bonnes pratiques : tout est passé au crible. Car un bon CTA ne se voit pas seulement, il donne envie d’agir.
Vous envoyez des emails bien conçus, au bon moment, avec une offre pertinente… mais les conversions ne suivent pas ? C’est souvent le CTA qui fait toute la différence entre un simple clic et une action décisive.
Dans cet article, nous allons explorer les leviers psychologiques, visuels et textuels pour faire de vos CTA de véritables déclencheurs d’action directe.
De la formulation à la couleur, du positionnement à l’intention, chaque détail compte. Et pour vous aider concrètement, nous intégrons exemples, bonnes pratiques et erreurs à éviter.
Chez MO&JO, agence emailing, nous vous aidons à transformer chaque bouton d’action directe qui mène à la conversion grâce à une méthodologie qui combine design impactant, stratégie comportementale et optimisation continue.
En Bref (FAQ)
- Qu’est-ce qu’un CTA dans un email ?
Un bouton ou lien cliquable qui pousse le lecteur à agir : cliquer, acheter, réserver, etc. - Pourquoi mon CTA ne convertit pas ?
Souvent à cause d’un message peu clair, d’un design peu engageant ou d’un mauvais emplacement. - Combien de CTA mettre dans un email ?
Autant qu'il est nécessaire selon la structure de votre email. Vous pouvez les démultipliez tant que cela reste cohérent mais surtout pour pousser sur chaque phase de l'email une action voulue précise. Le CTA sert votre objectif de trafic et donc de conversion finale. - Faut-il tester ses CTA ?
Oui, toujours. Un A/B test permet de mesurer ce qui incite vraiment vos lecteurs à passer à l’action.
Comprendre le rôle stratégique du CTA en emailing
Le Call to Action, ou CTA, est l’élément qui transforme un simple intérêt en action concrète. C’est à ce moment précis que le lecteur choisit de s’engager : cliquer, acheter, s’inscrire… ou tout simplement ignorer.
Un email sans CTA, c’est comme une course sans but. Vous pouvez captiver l’attention, informer, séduire... mais si vous ne guidez pas clairement vers la prochaine étape, vous perdez l’opportunité d’engagement.
👉 Prenons un exemple simple : une marque de cosmétiques annonce le lancement de sa nouvelle gamme.
- Dans la version 1 de sa campagne, le lien d’action est noyé dans le texte : “Cliquez ici pour en savoir plus.” → Le message est trop long et peu cliqué.
- Dans la version 2, un bouton clair et centré affiche : “Ma routine personnalisée”
La deuxième version attire davantage l’œil et incite à cliquer grâce à une formulation quasi personnalisée et une mise en forme courte et engageante.
Le CTA joue un rôle central dans vos résultats d’emailing, voici 3 rôles clés :
- Il impacte directement le taux de clic : plus il est visible et engageant, plus l’utilisateur interagit.
- Il influence le taux de transformation : si le message est clair, l’action devient naturelle.
- Il participe à la valorisation globale de la campagne, en donnant une direction claire au message.
Mais pour que le CTA fonctionne, il ne peut pas être isolé. Il doit s’inscrire dans une stratégie cohérente :
- Le contenu prépare et valorise la promesse.
- Le design attire l’œil sur le bon élément.
- La structure guide progressivement le lecteur jusqu’au bouton.
💡Conseil MO&JO : dès que vous concevez un email, commencez par définir votre objectif final. Quel comportement attendez-vous ? Le CTA sera la clé de voûte de cette action. Il ne s’ajoute pas à la fin, il se pense en amont.
Les ingrédients d’un CTA efficace : ce que vous devez savoir
Créer un CTA qui fonctionne ne tient pas du hasard. Chaque élément, du texte au design, en passant par la position, joue un rôle déterminant dans sa capacité à déclencher l’action.
Voici les piliers à maîtriser pour transformer un bouton en déclencheur de clics :
1. Un message clair et orienté bénéfice
Un bon CTA répond à une seule question : “Qu’est-ce que j’y gagne si je clique ?”
Les formules vagues comme “Cliquez ici” ou “En savoir plus” n’ont plus d’impact.
Préférez des textes :
- Précis : “Télécharger le guide complet”
- Actionnables : “Réserver ma démo gratuite”
- Centrés sur le bénéfice : “Ma solution personnalisée”
👉 Exemple : Une entreprise de formation en ligne a remplacé “Voir les formations” par “Je commence aujourd’hui”. Résultat : une hausse notable du taux de clics. Pas besoin d’effet spectaculaire : c’est la promesse claire qui a fait la différence. Le texte incite au clic.
2. Une mise en forme qui attire le regard
Votre bouton ne doit pas seulement être lisible, il doit se détacher visuellement du reste du contenu.
- Taille : suffisamment grande pour être cliquée facilement, même sur mobile.
- Forme : rectangulaire à coins arrondis ou bords nets, selon votre charte.
- Couleur : contrastée avec l’arrière-plan pour capter l’œil sans jurer avec le design global.
💡 Bon à savoir : les couleurs comme l’orange, le bleu ou le vert sont souvent utilisées car elles combinent bonne visibilité et perception positive. Mais la clé, c’est le contraste plus que la couleur elle-même. Vous pouvez même animés ces CTA pour qu’ils clignotent (GIF), ainsi, ils se démarquent des blocs statiques.
3. Une hiérarchie visuelle cohérente
Quand il y a plusieurs CTA dans un même email, il est essentiel de :
- Définir un bouton principal (plus grand, plus visible)
- Hiérarchiser les actions secondaires (plus discrets, placés différemment)
Cela permet au lecteur de comprendre immédiatement quelle action est prioritaire.
On parle de CTA primaire et secondaire, c'est-à-dire : Dans un email marketing, l’appel à l’action principal est celui qui guide directement vers l’objectif de conversion, comme « Réserver ma place », « Accéder à l’offre » ou « Finaliser mon inscription ».
Il doit capter l’attention et inciter à passer à l’action. L’appel à l’action secondaire, quant à lui, propose une alternative moins engageante, par exemple « En savoir plus », « Voir les détails » ou « Lire l’article ».
4. Un ton en accord avec votre audience
Votre CTA doit parler le même langage que votre cible. Une marque fun peut oser des tournures créatives. Une entreprise B2B préfèrera la sobriété, avec des verbes clairs et directs.
💡Astuce MO&JO : pour les cibles B2C, testez des formulations personnalisées du type “Je découvre…” ou “Je veux essayer”. Cela crée un lien plus direct entre l’action et le lecteur.
Placement et timing : où et quand afficher votre bouton ?
Même le meilleur CTA du monde ne fonctionnera pas... s’il est mal placé. L’endroit où vous insérez votre bouton dans l’email et le moment où le lecteur le découvre ont un impact direct sur sa propension à cliquer.
Réfléchissez à un placement stratégique des CTA afin de répondre à cette question : Pourquoi vos boutons ne sont-ils pas cliqués ?
1. Au-dessus de la ligne de flottaison : un réflexe... pas une règle absolue
Placer le CTA en haut de l’email (au-dessus de la ligne de flottaison), c’est-à-dire visible sans avoir à scroller, est une pratique courante, car elle permet de capter l’attention immédiatement.
Mais attention : ce n’est pas adapté à tous les contenus.
✅ C'est l'idéal pour :
- Une offre flash à promouvoir
- Un message ultra-court type notification ou promotion directe
Par contre c'est moins pertinent pour des emails narratifs, éducatifs ou inspirants, où l’utilisateur a besoin de contexte avant d’agir
👉 Petit exemple :
Une marque d’événementiel a testé deux versions de sa newsletter.
- CTA en haut : taux de clic faible, les lecteurs n’étaient pas encore convaincus.
- CTA déplacé après le bloc argumentaire : augmentation notable des interactions.
Pourquoi ? Le message avait besoin d’être lu avant de convaincre.
2. Le bon CTA, au bon moment
Votre email peut aussi comporter plusieurs CTA positionnés à des moments clés du parcours de lecture :
- Un premier dès le début, pour les lecteurs pressés
- Un autre à la fin, après avoir développé vos arguments
L’enjeu ici est d’adapter le CTA à l’engagement du lecteur. On parle de “behavioral CTA”.
👇 Prenons l’exemple d’un acteur du e-commerce dans le secteur lifestyle.
Lors d’une campagne de relance, il a intégré un CTA personnalisé “Voir mes recommandations” juste après un encart qui reprenait des produits récemment consultés par l’utilisateur.
Le bouton était contextualisé, personnalisé, et relié à une action logique pour le lecteur.
Là où un simple “Voir nos nouveautés” aurait été trop générique, le CTA personnalisé s’insérait dans un cheminement naturel, augmentant les chances de clic.
3. Attention à la redondance inutile
Un email avec 5 boutons différents peut vite devenir confus. L’œil ne sait plus où aller, le cerveau hésite, et au final… aucun clic n’est fait. Trop de boutons tue le bouton.
Chaque CTA doit avoir une fonction claire :
- Ne pas répéter le même bouton cinq fois
- Concentrez-vous sur une action principale par email.
- Si plusieurs options sont nécessaires, hiérarchisez-les clairement (ex. : un bouton principal + un lien secondaire discret) : ne pas proposer trop de choix qui dispersent l’attention
💡Conseil MO&JO : un seul objectif = un seul CTA principal. Si plusieurs actions sont possibles, guidez le lecteur avec une hiérarchie visuelle forte.
Les erreurs fréquentes qui tuent vos taux de clics
Voici les pièges classiques qui peuvent saboter vos efforts, même avec un bon contenu et un bon design.
1. Trop de choix, pas de décision
Quand un email contient plusieurs boutons sans hiérarchie claire, cela crée une surcharge cognitive. Le lecteur hésite, puis renonce.
❌ Le mauvais exemple :
Un email avec : “Voir le produit”, “Découvrir la marque”, “Partager à un ami”, “En savoir plus”... sans qu’aucun ne sorte du lot.
✅ La bonne approche :
Un seul CTA principal - “Découvrir le produit” - et, si besoin, un lien secondaire discret en bas de l’email pour les curieux.
Pourquoi c’est problématique ? Parce que l’internaute ne sait pas quelle est l’action attendue. Or, sans orientation claire, l’attention se dilue.
2. Des textes vagues ou impersonnels
Les boutons d’action qui disent “Cliquez ici” ou “En savoir plus” manquent de contexte et ne disent rien sur la valeur de l’action.
❌ Exemples de formules trop floues :
- “Plus d’infos”
- “Voir le site”
- “Valider”
✅ Ce que vous pouvez faire à la place :
- “Télécharger le guide complet”
- “Trouver ma solution idéale”
- “Commencer ma découverte”
Un bon CTA anticipe les attentes du lecteur et l’aide à se projeter.
3. Une visibilité insuffisante
Un CTA qui se fond dans le décor, c’est un CTA qui ne sera jamais vu.
Cela arrive souvent quand :
- Le bouton est de la même couleur que l’arrière-plan
- Le texte est trop petit ou peu lisible
- L’email est trop chargé visuellement
💡Astuce MO&JO : faites le test en mobile first. Si votre bouton ne ressort pas au premier coup d’œil sur smartphone, il faut retravailler sa taille, sa couleur ou son positionnement.
4. Un manque de cohérence avec le contenu
Parfois, le CTA n’a aucun lien direct avec le message de l’email. Le résultat que vous obtenez est une rupture de logique et une perte de confiance.
Exemple courant : un email qui présente une nouvelle fonctionnalité produit, et un CTA “Parler à un conseiller”... sans aucune transition.
👉 Ce qu’il faut : un CTA aligné sur le contenu, qui prolonge naturellement le discours.
Exemples de CTA qui fonctionnent (et pourquoi)
Un bon exemple vaut souvent mieux qu’une longue explication.
Voici plusieurs cas concrets pour illustrer comment un simple bouton peut transformer vos performances :
1. Emailing de relance - client inactif
Le contexte :
Une entreprise de décoration relance un client “cold” (inactif depuis 6 mois) avec une campagne d’emailing personnalisée.
La structure :
- Image visuelle forte (ambiance déco de saison)
- Texte court : “Vos goûts ont évolué ? Nous aussi.”
- CTA : “Nouvelles ambiances déco”, basé sur les top ventes du site.
Pourquoi ça marche :
- L’action est personnalisée, le bouton engage sans pression.
- L’appel à l’action est centré sur le prospect et non sur la marque.
- L’image déclenche l’attention, le texte finalise l’envie de cliquer.
2. Campagne produit – lancement d’offre
Le contexte :
Une marque de beauté lance une nouvelle offre packagée avec une réduction limitée dans le temps.
La structure :
- Accroche claire : “Un teint lumineux pour ce printemps ?”
- Infographie simple des bénéfices (format image)
- CTA principal : “Exclu web : 72h”
- CTA secondaire discret : “Votre teinte personnalisée”
Pourquoi ça fonctionne :
- Le bouton est centré sur l’action marketing immédiate
- Il intègre une donnée concrète pour accentuer l’urgence
- Deux niveaux d’engagement permettent de capter aussi bien les acheteurs directs que les curieux
3. Newsletter éditoriale – contenu expert
Le contexte :
Une entreprise B2B envoie un article sur les tendances emailing de l’année (contenu non promotionnel).
La structure :
- Titre : “5 leviers qui transforment vos campagnes”
- Image d’en-tête illustrant la tendance (responsive/email mobile)
- CTA : “L’article complet ICI”
Pourquoi ça marche :
- L’appel à l’action est contextuel et discret, parfait pour de l’éditorial.
- Le bouton utilise un texte descriptif, non commercial.
- L’objectif est le clic de contenu, non la conversion immédiate.
4. Webinar - conversion d’un internaute en lead
Le contexte :
Une startup tech invite les visiteurs de son site à s’inscrire à un webinar via une séquence emailing.
La structure :
- Titre : “Découvrez comment [Entreprise] augmente son taux de conversion”
- Aperçu du programme (format image ou gif)
- CTA : “Je réserve ma place”
Pourquoi c’est performant :
- Le texte du bouton est engageant et centré sur l’utilisateur
- Le mot “je” personnalise l’action pour l’internaute
- L’offre est claire, directe, avec une finalité de génération de client
L’impact visuel compte autant que le texte. Adoptez les bonnes pratiques en intégrant des images dans les emails.
Les bonnes pratiques pour optimiser vos CTA
Un bon bouton d’action n’est jamais le fruit du hasard. C’est le résultat d’une réflexion marketing précise, ancrée dans les comportements de vos cibles et nourrie de tests continus.
1. Connaître votre cible (et adapter le ton)
Chaque prospect ou client ne réagit pas de la même façon. Un internaute curieux ne cliquera pas sur un bouton “Acheter maintenant” s’il ne connaît pas encore votre offre.
- Pour un client froid : privilégiez des formulations douces, engageantes, de type “Nouveautés”, “Tendances du moment”, “Best-sellers”.
- Pour un prospect chaud (ayant cliqué sur plusieurs emails) : soyez plus direct avec “Je fonce”, “J’en profite”, “Mon essai gratuit”.
👉 Le bon réflexe : segmentez vos campagnes pour personnaliser le ton et le niveau d’engagement de vos CTA.
💡Conseil MO&JO : ne mettez pas de phrases dans vos CTA, celui-ci se doit d’être clair, concis et impactant.
2. Utiliser des verbes d’action forts
Les verbes de vos CTA sont les moteurs de l’engagement. Oubliez les “Cliquez ici” et testez des formulations plus dynamiques :
- “Créer mon compte gratuit”
- “Réserver ma démonstration”
- “Accéder aux résultats”
Ces verbes créent un sentiment de contrôle et de valeur chez l’utilisateur, qui ne clique pas juste pour voir, mais pour obtenir un bénéfice concret.
3. Mesurer et ajuster en continu
Un bon marketeur ne se fie pas à son intuition : il teste. Utilisez des outils emailing comme Hubspot, Brevo, ou encore ActiveTrail pour suivre les taux de clic, d’ouverture et de conversion de chaque bouton.
Analysez les zones chaudes de vos emails (post-envoi). Vous verrez que si vous avez bien structuré vos CTA ce seront les zones les plus cliquées.
Testez notamment :
- Le texte du CTA
- Sa forme et sa couleur
- Son emplacement dans l’email
- La version mobile vs desktop
Le rôle du CTA dans l’écosystème emailing global
Un bon CTA ne se suffit jamais à lui-même. Il fait partie d’un tout : votre design, votre contenu, votre stratégie d’email marketing. Pour convertir, tout doit être aligné.
1. Cohérence avec le design et le contenu
Un bouton qui claque visuellement mais qui n’a aucun lien avec le texte ou l’image autour... ne convertira pas. Le contenu doit créer la tension, le CTA la relâcher.
👇 Exemple :
- Image = produit en situation
- Texte = “Vous hésitez encore ?”
- Bouton = “Comparer les modèles”
Ici, tout est fluide, logique, et engageant. C’est cette cohérence qui capte l’attention et guide le clic.
2. Responsive, mobile-first, et accessible
Plus de 50 % des emails sont lus sur mobile. Si votre bouton est trop petit ou mal placé sur écran réduit, vous perdez un pourcentage énorme de conversions.
- Prévoyez une taille de bouton suffisante (>45px de hauteur)
- Veillez à un contraste suffisant entre le texte et la couleur de fond
- Testez le responsive de vos emails sur plusieurs appareils (desktop, tablette, smartphone)
Et n’oubliez pas : vos internautes peuvent aussi avoir des contraintes d’accessibilité. Un bon CTA, c’est aussi un bouton lisible, explicite et cliquable facilement, pour tous.
3. Un email = un objectif
Trop de campagnes échouent parce que le message manque de focus. Si votre email tente de vendre un produit, de faire lire un article, et de générer une inscription… l’internaute ne saura pas quoi faire.
❗️ Une règle simple : un email, un objectif, un CTA principal.
Les autres actions peuvent exister, mais elles doivent être secondaires et discrètes.
Le mot de la fin
Un bon Call to Action ne se limite pas à un joli bouton : c’est une synthèse de votre stratégie de contenu, de votre design, et surtout de votre connaissance client.
Le CTA est le carrefour entre intention et conversion. Chaque mot, chaque couleur, chaque placement doit être pensé pour guider le lecteur sans friction vers l’action attendue.
Ce que vous devez retenir :
✔ Un seul objectif par email
✔ Un texte clair, orienté bénéfice
✔ Une mise en forme visible et mobile-friendly
✔ Un test permanent pour améliorer les performances
Prenez le temps d’observer comment vos internautes interagissent avec vos emails. Analysez, testez, ajustez. Car au fond, un bon CTA, ce n’est pas juste un bouton qui se voit : c’est un bouton qui convertit.
Contactez MO&JO pour créer des campagnes emailing qui convertissent vraiment.
Échangeons sur vos enjeux et faisons de chaque clic une opportunité.